J’ai eu la chance de naître dans une famille où les livres étaient présents partout. Je suis le filleul de l’Académicien Maurice Druon (les Rois Maudits, le Chant des Partisans) et j’ai passé mon enfance à côtoyer les amis de mes parents, qui étaient souvent de grands écrivains: Maurice Genevoix, Joseph Kessel, Lucie Faure et tant d’autres.
Pourtant, c’est un autre très grand romancier qui m’a donné le goût de la lecture, et celui de l’écriture: Il s’appelait San Antonio. Mais oui, je me dirigeais déjà vers d’autres voies que celles qui m’avaient été ouvertes !
Mes études de Droit, de Sciences Politiques (Panthéon-Sorbonne et Sciences Po) ne me destinaient pas à l’écriture. J’ai choisi la communication en devenant très jeune le directeur du marketing et de la publicité de la première chaîne de télévision commerciale française: La Cinq. Puis en travaillant toujours à la communication dans un monde aussi fermé que passionnant: l’URSS et les Pays de l’Est où j’ai importé le concept de publicité occidentale. Lorsque le Mur de Berlin est tombé, j’ai eu la fierté de ne pas être que spectateur mais aussi acteur.
Mais quelque chose grouillait en moi. J’avais visité 54 pays, et partout dans le monde, noué des contacts passionnants. Tout cela allait alimenter une sensation qui devait exploser: un besoin vital d’écrire. Alors j’ai écrit, j’ai envoyé une nouvelle, une seule à concours. La nouvelle s’appelait ‘Un gosse joue’. Le téléphone a sonné. Je me suis rendu à la remise des prix. C’est le Ministre André Santini qui m’a remis le Prix Icare. J’avais gagné. Plus tard, deux autres envois. A nouveau deux premiers prix.
Aujourd’hui: un roman publié en librairie, qui a obtenu le Prix Amok. Dix-huit nouvelles parues en presse. Deux ouvrages collectifs édités, ainsi que trois guides touristiques et gastronomiques.
Mon champ littéraire mêle la psychologie, le suspense, les petits travers qui empoisonnent la vie de l’homme. Mais tous mes textes oeuvrent dans la même direction: l’espoir.
Après tout, San-Antonio ne faisait pas autrement, qui dirigeait son lecteur vers une solution heureuse de l’énigme.
La crise du coronavirus m’a incité à publier en numérique un roman: « le moins mauvais des monde », pour avoir la fierté d’être le premier auteur de fiction à sortir un ouvrage sur le sujet, que je peux proposer à la lecture pendant cette période si troublée que l’on appelle Le Grand Confinement.
Dans un élan de découverte et de passion, chaque jour apporte son lot de surprises et d’aventures. Laissons-nous guider par la curiosité, dans un monde où chaque détail compte et chaque moment est une histoire à raconter.